Vendredi 21 octobre
• 11h : Table ronde de l’ADAGP sur les NFT (Non-Fungible token ou jeton non fongible). Cette conférence menée par Justine Bras explorera un nouveau moyen d’assurer la propriété intellectuelle des œuvres et une source nouvelle de rémunération pour les artistes.
• 14h : Nicole Randon et Jean-Pierre Paulhac, membres de la Société des Poètes Français, accompagnés par la violoncelliste Marie-Claude Bantigny, vous offrent un « Florilège poétique d’hier et d’aujourd’hui » de François Villon à François Cheng.
• 16h : Ballet de l’Ouest parisien dirigé par Alice Psaroudaki.
• 18h : Concert d’Arnaud Askoy, La Promesse Brel, en présence de Roland Romanelli et Jean-Philippe Audin.
Samedi 22 octobre
• 11h : Conférence Les Pionnières du cinéma par l’historien Daniel Chocron. Agrémentée d’extraits de films, la conférence s’intéressera aux débuts d’un art promis à un bel avenir, à travers la vie et l’œuvre de deux femmes d’exception : Alice Guy (1873-1968), la première réalisatrice, directrice artistique de la société Gaumont, et Musidora (1889-1957), première vamp du cinéma, productrice, réalisatrice et égérie de Louis Feuillade pour ses prestigieux « serials », Les Vampires et Judex.
• 14h : Concert du groupe LibaTion.
• 16h : Transparences, défilé des robes oniriques en bouteilles plastiques de recup de l’artiste Petra Schwanse.
• 18h : Concert de Nima Sarkechik, pianiste, et de Maxwell H. Pozzo, dessinateur.
• 20h : Concert du groupe de salsa parisien Los Guarijos.
Dimanche 23 octobre
• 11h : Visionnage du film Une semaine de bonté ou les sept éléments capitaux du réalisateur Jean Desvilles. Violences, rapts, viols, assassinats : la vision hallucinée du « roman » de Max Ernst retrace le mythe de la création du monde en 7 jours, conjugué aux éléments et aux 7 péchés, où il déploie dans un collage alchimique des illustrations de Gustave Doré.
• 14h : Défilé Pictur Elle, Fabienne Thibeault et Edmond Boublil. Cette collection s’inspire du travail du peintre breton Yves Decaudan ; elle en reproduit silhouettes et formes, sur des tissus originaux, dans la « fusion » du geste vocal et du geste pictural, rendue tangible par le designer, quand l’œuvre du peintre vient habiller le corps, toile vivante et en mouvement. Les formes et couleurs prennent vie.
« Il n’y a pas de hasard dans les rencontres », écrivait Paulo Coelho ; ce rendez-vous avec le Salon d’Automne m’émeut et me ravit car il vient, comme une sorte de cadeau, « donner le la » à une aventure passionnante pour moi : la création d’une collection « Fabienne Thibeault », pour femmes rondes… Pictur Elle by Edmond Boublil » (Fabienne Thibeault).
